Acceptent-ils d’être soignés et traités pour leur maladie chronique-que ce soit dans le centre de santé ou dans un autre secteur ? Si quelqu’un n’a pas continué le traitement, connaissez-vous les raisons pour lesquelles ils ne le font pas? Nous vous suggérons de partager cette information avec le reste de vos collègues, dans votre cours. COURS DE SANTÉ SOCIALE ET COMMUNAUTAIRE.
Le lien entre l’équipe de santé et les personnes souffrant de maladies chroniques la rencontre entre la personne qui visite et l’équipe de santé communautaire est toujours un moment très important. Il est temps de construire un nouveau lien ou de renforcer un existant.
Ceux qui consultent doivent être entendus
Ce lien sera essentiel pour aborder les consultations sur les maladies chroniques, qui impliquent généralement des études, des visites programmées au centre de santé et des traitements prolongés, des besoins de changements de style de vie et peut-être des pertes associées à la maladie elle-même.
Une relation est établie dans laquelle apparaissent inévitablement les douleurs, les souffrances, les doutes, les peurs et les préjugés des deux. Ceux qui consultent doivent être entendus, compris et guéris. C’est là une règle d’or peut être appliquée: vous devez savoir pour comprendre.
L’équipe communautaire ou le membre qui initie le lien avec cette personne en particulier devrait être prêt à écouter, à savoir quelle est la perception de la maladie qui a la personne qui visite. La Perception qu’il a construite culturellement, dans sa famille, dans sa communauté, à travers son histoire personnelle. Si nous ne savons pas comment l’autre comprend le problème, nous ne pourrons jamais l’accompagner efficacement.
Le temps consacré à la consultation
Dans ce dialogue entre la personne qui consulte et l’équipe de santé apparaissent les connaissances, les préjugés, les mythes, les possibilités de parvenir à un consensus de traitement. Le temps consacré à la consultation ne peut pas être le même pour tous, puisque l’unicité de chaque patient sera ce qui définit une gamme de temps de soins.
- Il est important de prendre en compte le lieu, c’est-à-dire l’espace de confiance et de tranquillité où une personne qui visite peut exprimer sa maladie et un membre d’une équipe de santé du premier niveau de soins peut l’écouter.
- Le modèle de soins prédominant axé sur la médicalisation et non sur le sujet, ne permet pas-en général-à une personne qui visite de demander, d’opinion et de choisir en fonction de sa maladie, car il suppose que la personne qui visite n’a pas les connaissances nécessaires pour contribuer au traitement.
Il s’agit d’une difficulté cruciale pour intervenir avec des problèmes chroniques, dans lesquels la personne qui consulte est celle qui souffre et le rôle de l’équipe est l’accompagnement technique et spécifique et le Conseil. 2.1.1 quelques approches de l’expérience des maladies chroniques l’expérience de chaque problème de santé est subjective et est aussi un produit de la Culture: comment chaque personne éprouve-t-elle la maladie chronique dont elle souffre?
Comment te sens-tu?
Comment te sens-tu? quelles sont vos craintes et vos doutes?, avec qui ou qui le patient compte-t-il être accompagné sur cette voie? ce sont des questions essentielles qui doivent être soulevées par l’équipe de santé si elle est déterminée à répondre de façon responsable aux problèmes de santé chroniques. 67 certains problèmes de santé complexes l’incertitude, l’usure physique, la dépendance et les changements de style de vie qui peuvent survenir chez la personne atteinte d’une maladie chronique et son soignant devraient être pris en compte.
Ainsi que l’apparition de l’inconfort physique et émotionnel, les changements dans la sexualité, la peur de l’inconnu et même la levée de la mort (la peur qui est souvent présente).
Accepter que l’indépendance est perdue, que l’image de soi est altérée et que l’on doit dépendre de certains médicaments et contrôles avec le système de santé-ainsi que les changements nécessaires dans la vie quotidienne – peut produire chez la personne des sentiments de frustration et d’abandon du traitement.
Il est courant que lorsqu’il est confronté à un problème de santé chronique, la personne qui en souffre a des réactions de fuite ou de déni, surtout lorsqu’il n’y a pas assez de symptômes qui le rendent malade.
Accepter que l’indépendance est perdue
Il peut également arriver que des réactions d’agression ou de colère des recommandations données par l’équipe de santé concernant la nutrition, les changements dans les modes de vie et d’autres. Mais aussi, parfois, les réactions de résistance passives apparaissent presque imperceptibles (perte de prescriptions, oubli des quarts programmés, entre autres).
- L’équipe de santé ressent et concrétise souvent des réactions de fuite, raccourcissant le temps de soins, utilisant un traitement hostile ou ayant des horaires inaccessibles pour ces personnes.
- Enfin, dans tous les cas, il s’agit de stratégies visant à éviter des problèmes complexes pour lesquels l’approche est perçue comme des outils rares et, par conséquent, présente une forte probabilité de provoquer de la frustration.
- Est-ce le problème chronique que vous consultez sur le plus important pour cette personne?
L’équipe doit savoir comment prioriser les problèmes des patients, pour prévenir les réactions de rejet si quand il ou le patient minimise ou maladie inconnue, et aussi pour être en mesure de passer strictement technique isolé, seulement la déshumanisation de la relation équipe-communauté. Regardé de l’équipe de santé …
La façon dont l’équipe ou un membre de l’équipe évalue une personne avec un problème de santé chronique devrait faire partie de la réflexion initiale, qui peut être partagé dans la réunion de l’équipe, en tant que groupe, et basée sur la connaissance de la condition que cette personne présente. Pensez à la façon dont la nouvelle situation de santé éprouve cette personne, sa famille, son groupe social d’appartenance.
Regardé de l’équipe de santé
Vu de la personne et ses proches liens … connaître les croyances et les valeurs personnelles et familiales au sujet de cette maladie permettra de maintenir les soins de la personne, de la traiter de manière active, même en reconnaissant les limites existantes pour faire face à ce problème de santé particulier. Entralgo: histoire de la médecine Ed. Sauvé, 5e. réimpression, 1984. Vue d’après les déterminants sociaux …